TF1 -
Au-Field-de-la-nuit - L'émission du 28 septembre 2009
20 minutes -
Karine Papillaud
« Laurent Bénégui pousse la loi de l’enquiquinement maximum à son paroxysme, tissant un suspense étonnant et maîtrisant le sens du rebondissement en artiste… Sans doute le roman le plus drôle de la rentrée, le plus épuisant aussi pour le lecteur, qui pourtant en redemande. »
Le Monde -
Marie-Pierre Subtil
Critique humoristique de la modernité, SMS est son quatrième roman en quatre ans… Laurent Bénégui sait faire rire son lecteur, mais il n’a pas le cœur à rire en ce moment : il est de ceux qui avouent leurs insomnies en cette rentrée littéraire…
L’Est-Eclair -
Libération champagne
Cette comédie irrésistible procure une belle détente et c’est avec délice que l’on retrouve la plume de Laurent Bénégui qui raconte sur un rythme effréné et avec beaucoup d’humour et de fantaisie une sale semaine !
Le Berry Républicain
Laurent Bénégui enrobe, une fois de plus, intrigues, suspens et catastrophes avec suffisamment d’humour, d’émotion et de réflexion pour conseiller son roman aux lecteurs les plus défaitistes.
Ecran noir.fr (http://www.ecrannoir.fr) -
Vincy
Un « After Hours » avec « La mort aux trousses »… Comédie paranoïaque ou drame décalé. Passionnant et pittoresque. Un roman de la rentrée littéraire qui pour une fois n’a rien d’introspectif, et fait écho à notre réalité avec un sens de la dérision salutaire.
Télé Z -
Bruno d’Epenoux
La cocasserie et l’extravagance disputent à l’humour les terribles calamités qui s’abattent sur le malheureux héros de ce roman. La lecture du nouveau livre de Laurent Bénégui est idéale pour remplir la rentrée de gaieté.
La Liberté -
Jacques Sterchi
A partir d’une disparition, Laurent Bénégui s’amuse surtout à déclencher tout ce qui peut crépiter, encoder, et même envoyer une décharge.
Hebdo Mag
SMS est un récit à la fois drôle et poignant écrit avec une grande dose de dérision et un humour corrosif faisant écho à notre réalité.
Le Crestois
Un livre plein de fantaisie, de cruauté, de folie et d’humour, mais non dépourvu d’émotion !
Le Nouvelliste -
Manuela Giroud
Laurent Bénégui mène cette comédie paranoïaque à un rythme d’enfer. Le lecteur a d’autant moins le temps de souffler qu’il est occupé à se marrer. Une critique de notre mode de vie qui résonne comme le grand éclat de rire de la rentrée littéraire. Salutaire.
Le Midi-Libre
Depuis que Laurent Bénégui porta à l’écran en 1995 son « Au Petit Marguery » plein d’humour et de dureté, les lecteurs se réjouissent à chacune de ses productions. Gageons que son huitième roman « SMS » les comblera, aussi terrifiant qu’irrésistible.
Le Populaire du centre -
Jean-Guy Soumy
Laurent Bénégui opssède le alent de nous entraîner dans un monde de fantaisie et de cruauté. Son écriture est ciselée par nécessité. Car s’il est aisé de faire verser des larmes, amuser relève du tour de force. En ce sens « SMS » est une réussite. Récit haletant mené sur un rythme époustouflant. « SMS » possède la légèreté des textes qui abordent le trivial par le versant de l’enchantement.
La Voix du Nord
Une satyre amusante et cruelle de notre monde moderne qui se lit d’une traite
Ouest-France -
Florence Pitard
Ces aventures, hilarantes et menées tambour battant se doublent d'une réflexion sur les aléas des nouvelles technologies.
Evene.fr -
Faustine Amoré
Pour ce qui est de la dimension dramatique, Laurent Bénégui n'a pas son pareil pour planter une intrigue sur la base d'un acte anodin et, donc, a priori banal. Il parvient ainsi à nous rendre son double fictionnel d'autant plus proche et familier. Son art et sa véritable force, ils les trouvent toutefois davantage dans la gestion du crescendo et de l'effet boule-de-neige. Chacun des obstacles érigés sur le sinueux parcours de son narrateur concourt à sa lente descente aux enfers. Le tout sans rien perdre de sa verve comique et de son verbe bien senti. Il y a une bonne dose de tragi-comique dans ce roman hilarant, mais aussi une belle leçon de morale : s’il n’est pas interdit de rire du malheur des autres, il n’est pas interdit non plus de se réjouir de leurs succès. Car la course échevelée de cet homme contre son destin, ses interrogations, ses remises en question et ses chutes burlesques, sont autant d’indices de la lente marche qu’il mènera vers lui-même. Loufoque, certes, mais Laurent Bénégui ne saurait se contenter de trop de légèreté. |